Elizabeth Gilbert s’est d’abord faite connaître suite à la publication de son populaire mémoire « EAT, PRAY, LOVE » en 2006. Suite à cet immense succès (une adaptation au cinéma avec comme tête d’affiche Julia Roberts tsé!), elle commença à s’inquiéter : et si l’ouvrage le plus applaudi de sa carrière serait déjà derrière elle?
Rassurez-vous, il ne faut pas trop s’en faire pour Elizabeth. Sa vision de la créativité l’aide à gérer toutes les attentes de son lectorat et le stress qui vient avec toute cette pression. Dans la première partie de son livre « BIG MAGIC », Elizabeth nous défini ce qu’elle entend par magie. Et s’il y co-existait autour de nous des créatures invisibles responsables de notre inspiration? Sous formes d’idées voyageuses, celles-ci nous rendent visite. Ensuite, si nous sommes réceptifs et aptes à les faire traverser dans le monde réel, elles nous font don de l’inspiration nécessaire pour être retranscrite sous forme de roman ou poème ou chanson ou toile ou…
Ok. Je suis du genre plutôt terre à terre. Ce concept semble un peu ridicule mais si on s’y force d’y croire, cette pensée magique enlève beaucoup de pression sur l’artiste.
Savoir que nous ne sommes pas le seul responsable d’un échec cuisant est rassurant.
Savoir que nous ne sommes pas le seul responsable d’un succès fulgurant nous garde sur terre.
Les deux pieds bien ancrés au sol, Elizabeth nous fait ensuite le récit de ses débuts plus difficiles. Elle nous raconte de nombreuses anecdotes recueillies au fils des ans et nous amène dans le processus créatif de divers artistes comme Tom Waits, Truman Capote et James Franco.
Oui, le cross joint dude.
En conclusion
J’ai adoré cette lecture de « BIG MAGIC » et je la conseille à tous les créatifs. D’ici là, vous pouvez visionner sa conférence TEDx qui vous donnera une bonne idée de ce contient son livre. Elle a l’air si sympa :
